Après un bon tour de métro et de bus (gratuit car on n’a pas
compris comment il fallait valider notre ticket), nous voilà dans la rase
campagne des alentours budapestois. Une autoroute à enjamber puis nous sommes
arrivés dans ce que le guide du roublard présente comme le plus grand marché aux
puces de la ville…
En fait, quelques échoppes en tôle ondulée, dont beaucoup
sont fermées, les autres vendant de la porcelaine rococo, de la dentelle rococo
aussi, et des reliques cocos ou nazies, mélangées à d’autres trastes… dont un « kiki
de tous les kikis » albinos, qui a bien failli prendre un billet pour
Toulouse !
Et on n’a pas dû y aller à la bonne heure, car le samedi est
en principe le jour le plus couru, mais il n’y avait pas un chat…
Tout ça donnait un certain charme pathético-rigolo.
1 commentaire:
Quoi !??? une paire de Kikis de tous les kikis dont un albinos, certainement un collector??!! Rien n'est perdu , il est encore temps d'aller les récupérer aujourd'hui au marché.
Signé : Jules et Léo
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