Après trois heures de mini-bus raisonnablement sportives (Nathalie n’aura plus peur quand je doublerai des trainards), nous arrivons à l’embarcadère de Bay Chai, à 3 km d’une des deux villes au bord de la baie. Il "moussone".
Nous sommes pris en charge par Mister Son, une espèce de marchand de tapis en chemise à rayures et chapeau panama (il porte beau, comme on dit chez nous), qui nous amène jusqu’au centre-ville dans sa Hyundai, en nous disant qu’il fait partie de la compagnie qui nous a vendu le ticket de bus prévu pour aller jusque là, et qu’il finit donc le travail…
L’air de rien, il en profite pour nous faire l’article sur son hôtel, son bateau, etc.
Une fois installés à l’hôtel d’en face (dans lequel on rentre en traversant une boutique de téléphones portables), comme la pluie s’est calmée, nous partons faire un tour de la ville et voir la baie. Comme prévu, c’est beaucoup plus calme que Hanoï. Pour ce qui est de la baie, la brume limite pas mal la visibilité… ça doit être joli, mais il faudra attendre demain pour vérifier.
Nous partons ensuite manger dans un resto recommandé par le guide du Roublard. Très bon poisson et palourdes grillés, mais le plus rigolo se passe en cuisine : la serveuse s’agenouille sous un plan de travail pour attraper les poissons vivants, à travers un trou dans le mur. Ils s’échappent parfois, et tombent sur le sol en ciment, d’une propreté relative, où passent de temps en temps quelques mulots.
Retour à la guest house par le bord de mer, où un karaoké en plein air fait recette. Vers 11 heures, les clients crient dans les couloirs, claquent les portes et regardent la télé son à fond. Les vietnamiens doivent être un peu les espagnols de l’Asie…
Nous sommes pris en charge par Mister Son, une espèce de marchand de tapis en chemise à rayures et chapeau panama (il porte beau, comme on dit chez nous), qui nous amène jusqu’au centre-ville dans sa Hyundai, en nous disant qu’il fait partie de la compagnie qui nous a vendu le ticket de bus prévu pour aller jusque là, et qu’il finit donc le travail…
L’air de rien, il en profite pour nous faire l’article sur son hôtel, son bateau, etc.
Une fois installés à l’hôtel d’en face (dans lequel on rentre en traversant une boutique de téléphones portables), comme la pluie s’est calmée, nous partons faire un tour de la ville et voir la baie. Comme prévu, c’est beaucoup plus calme que Hanoï. Pour ce qui est de la baie, la brume limite pas mal la visibilité… ça doit être joli, mais il faudra attendre demain pour vérifier.
Nous partons ensuite manger dans un resto recommandé par le guide du Roublard. Très bon poisson et palourdes grillés, mais le plus rigolo se passe en cuisine : la serveuse s’agenouille sous un plan de travail pour attraper les poissons vivants, à travers un trou dans le mur. Ils s’échappent parfois, et tombent sur le sol en ciment, d’une propreté relative, où passent de temps en temps quelques mulots.
Retour à la guest house par le bord de mer, où un karaoké en plein air fait recette. Vers 11 heures, les clients crient dans les couloirs, claquent les portes et regardent la télé son à fond. Les vietnamiens doivent être un peu les espagnols de l’Asie…
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